Mathieu Madénian, sous influence : « J’ai grandi avec ce patriarcat qui nous apprenait qu’un homme ne devait pas pleurer »
Propos recueillis par François Sionneau
Publié le
Mathieu Madénian THOMAS O’BRIEN /EFFET LE NOUVEL OBS
S’abonner permet d’offrir les articles à vos proches. Et pas que : vous pouvez les consulter et les commenter.
Abonné
Entretien L’humoriste et comédien raconte sur scène et sur ses réseaux comment la paternité l’a transformé. Ce natif de Perpignan d’origine arménienne nous décrypte les influences avec lesquelles il a grandi et celles qu’il aimerait transmettre, de l’amour d’Aznavour au goût de l’horizon.
Pour aller plus loin
Il y a cinq ans, Mathieu Madénian était sur scène avec « Un spectacle familial », one-man-show dans lequel il évoquait sa famille et les différences (et incompréhensions) entre générations. Depuis, il est devenu papa. La focale s’est donc inversée pour son nouveau spectacle, « A pleurer de rire », dans lequel il interroge sa paternité et explore les bouleversements liés à la parentalité.
Quelle meilleure occasion d’interroger cet ancien avocat et ex-chroniqueur à « Charlie Hebdo » sur ses influences ? On y croise évidemment Charles Aznavour (origines arméniennes obligent), mais aussi Clint Eastwood ou Gustave Caillebotte. Et bien sûr, on parle de ce Sud natal dans lequel il retourne le plus souvent possible pour « revoir l’horizon ». Prochaine occasion d’y descendre ? Le Festival d’humour qu’il a créé à Collioure et qui aura lie…
Article réservé aux abonnés.
Se connecterEnvie de lire la suite ?
Tous nos articles en intégralité dès 1€
ou
Le Nouvel Observateur
