Les films les plus appréciés de Kemal Sunal à l'occasion du 25e anniversaire de sa mort


1. La série Chaos Class (1975-1981)
Kemal Sunal, identifié au personnage de « Şaban la Vache », est devenu le visage le plus mémorable d'Hababam Sınıfı. La série, qui aborde les aspects drôles et sincères de la vie étudiante, continue de séduire tous les publics.

2. Frères et sœurs (1976)
Dans ce film, basé sur des relations familiales complexes et des malentendus, le personnage de Ramazan joué par Sunal fait rire le public aux éclats.

3. Tosun Pacha (1976)
Şaban, déguisé en « Tosun Pacha » dans la lutte entre Tellioğulları et Seferoğulları, change radicalement le cours des événements. Le film est considéré comme l'une des comédies les plus colorées de Yeşilçam.

4. Le Roi des portiers (1976)
Cette production, qui dépeint de manière satirique les différences de classe à travers les yeux du portier d'appartement Seyit, est à la fois stimulante et humoristique.

5. Le Roi des charognards (1977)
L'histoire d'amour naïve mais fière du nettoyeur municipal Nazim est un chef-d'œuvre qui mélange les rues d'Istanbul avec humour.

6. La Vache Saban (1978)
En se concentrant sur l'histoire individuelle du personnage d'Hababam, ce film conquiert une fois de plus les cœurs avec le caractère pur et honnête de Sunal.

7. Feyzo poli (1978)
L'histoire de Feyzo, qui se rebelle contre le système ağa, questionne la structure sociale en Anatolie à travers l'humour.

8. Davaro (1981)
La lutte de Memo contre le prix de la mariée et les coutumes après son retour d'Allemagne contient des critiques à la fois culturelles et sociologiques.

9.Zubuk (1980)
Adapté du roman éponyme d'Aziz Nesin, ce film met en scène Kemal Sunal dans le rôle de Zübükzade İbrahim, un politicien escroc qui use de tous les moyens possibles pour servir ses propres intérêts. Utilisant des concepts tels que la religion, la morale et la patrie pour tromper le public, Zübük révèle le visage obscur du système politique avec un style satirique. Ce film, dans lequel Kemal Sunal sort de ses rôles classiques de « naïf », est l'un des exemples les plus marquants de la comédie noire dans le cinéma turc.

Cette production satirise les fausses croyances en médecine, révélant qu'un homme glorifié comme « médecin » aux yeux des villageois n'a en réalité rien à voir avec la santé.
Cumhuriyet