Meta informe le STF qu'il a respecté la suspension des profils de Zambelli

Les avocats de la plateforme Meta , qui gère les réseaux sociaux Facebook, Instagram et Facebook, ont informé le Tribunal suprême fédéral (STF) qu'ils se sont conformés à l'ordre du ministre Alexandre de Moraes de suspendre les profils liés à la députée Carla Zambelli (PL-SP).
Selon les avocats, l'arrêté du ministre a été « dûment traité » et les publications ont été conservées, comme déterminé.
Nouvelles connexes:Moraes avait auparavant ordonné l'arrestation de la députée , l'inscription de son nom sur la liste des personnes recherchées par Interpol et la suspension de ses réseaux sociaux.
L'arrestation a été ordonnée après que le Bureau du Procureur général (PGR) a saisi la Cour suprême. Selon le PGR, elle a fui le Brésil pour éviter de purger sa peine .
Hier, lors d'une interview accordée à une radio de l'intérieur de São Paulo, Zambelli a déclaré avoir quitté le pays pour suivre un traitement médical et qu'elle allait prendre congé de son mandat. La députée se trouve aux États-Unis et a déclaré qu'elle avait l'intention de se rendre en Italie en raison de sa nationalité.
L'évasion a eu lieu moins d'un mois après la condamnation du député par la Cour suprême à dix ans de prison pour piratage du système électronique du Conseil national de la justice (CNJ), en 2023. Le député devra également verser 2 millions de réaux de dommages et intérêts collectifs. L'affaire est en appel.
Selon l'enquête, Zambelli était le cerveau du piratage informatique visant à émettre un faux mandat d'arrêt contre le ministre Alexandre de Moraes. L'enquête a également révélé que le piratage avait été réalisé par Walter Delgatti, également condamné et qui a confirmé avoir effectué ces opérations à la demande du parlementaire.
DéfenseAprès l'annonce du départ de Zambelli du Brésil, l'avocat Daniel Bialski a abandonné la défense de la députée. Moraes a ordonné que cette mission soit confiée au Bureau du Défenseur public fédéral (DPU).
IstoÉ