Élection présidentielle américaine : Steve Bannon rejette les rumeurs d'une candidature pour 2028 et répond en deux mots

Selon le Daily Mail, l'ancien stratège en chef de la Maison-Blanche, Steve Bannon, se préparerait à briguer la présidence en 2028. Mais Bannon a réfuté ces informations et n'a fourni qu'une réponse en deux mots. Bannon recherche des conseils politiques pour une éventuelle candidature, et a également affirmé qu'il avait dénigré en privé le vice-président JD Vance, qui a été considéré comme le principal candidat à la présidence sur le ticket du GOP en 2028, selon les rapports. Selon le Daily Mail, citant une source proche de Bannon, il aurait exprimé des doutes sur la résilience de Vance pour une campagne en 2028. En réponse au rapport du Daily Mail, l'ancien stratège en chef de Trump a fourni une réponse concise : « Trump 2028 », a rapporté Fox News. Le président Trump a récemment soutenu J.D. Vance comme successeur probable, suggérant une candidature avec le secrétaire d'État Marco Rubio, tout en reconnaissant le caractère prématuré de telles discussions. Rubio a exprimé son soutien à Vance lors d'un entretien avec Lara Trump, déclarant : « Je pense que J.D. Vance serait un excellent candidat s'il décide de le faire. » Le National Pulse a critiqué l'article du Daily Mail, le qualifiant de mal documenté, suggérant qu'il visait à créer la discorde au sein des rangs républicains. En mars, Bannon a déclaré à Politico qu'il soutenait exclusivement le président Trump et le programme « America First », qualifiant les ambitions présidentielles d'« absurdes ». Cependant, en avril, il a évoqué avec News Nation les moyens possibles de contourner la limitation des mandats présidentiels. Après l'investiture de Trump en 2025, le représentant Andy Ogles a présenté un amendement constitutionnel prévoyant un éventuel troisième mandat présidentiel. La proposition est toujours à l'étude par la commission judiciaire de la Chambre des représentants. Le Trump Store propose actuellement des produits « TRUMP 2028 », dont un chapeau à 50 £, alimentant les spéculations sur une éventuelle campagne pour un troisième mandat.