On a assisté au lancement de T18, la nouvelle chaîne de la TNT
%3Aquality(70)%2Fcloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com%2Fliberation%2FN5XDND3JDVGW3NQ4JADAA3MSLM.jpg&w=1280&q=100)
A 19 h 45, ce vendredi soir, une rangée de sourires un poil crispés accueille le téléspectateur pour lancer officiellement la dernière née de la TNT. «T18, c’est parti !» Pas de gros bouton rouge pour la mise en orbite, mais une sorte de levier actionné à trois, en régie, par tout l’organigramme de la chaîne : le président de T18, Christopher Baldelli, la patronne du groupe de presse qui la détient (CMI France), Valérie Salomon, et le président du conseil de surveillance dudit groupe, Denis Olivennes (aussi PDG de la holding qui possède Libération). En plateau, Laurent Ruquier a mis sa veste de gala pour l’occasion, et présente les deux autres visages que l’on retrouvera régulièrement à l’antenne, les journalistes Matthieu Croissandeau et Ava Djamshidi. En coulisses, à quelques mètres de là, une petite centaine d’invités et de journalistes (dont Libération) s’est pressée pour ce lancement tout sauf clinquant - champagne et petits fours de circonstance, avec Inès de la Fressange et Raphaël Enthoven dans l’assistance. A l’antenne, on est précisément à l’opposé des ballets futuristes et du défilé de stars de l’inauguration rutilante de la Cinq de Berlusconi en 1986.
Libération