José Luis Espert a appelé à un « Plus jamais ça » pour le kirchnerisme et a mis en garde contre la crise sociale en Argentine.


José Luis Espert a une fois de plus critiqué le kirchnérisme et appelé à un « plus jamais ça » pour tout ce qui représente une Argentine en proie à la pauvreté et à la violence. Dans une interview, il a déclaré qu'il était urgent de mettre fin à l'insécurité et à la corruption qui nuisent à la société et a mis en garde contre la crise sociale. Il a également remis en question le vote à la Chambre des députés, qui a approuvé les lois sur le financement des universités et les urgences pédiatriques. Pour Espert, la soi-disant « voie médiane » a favorisé le kirchnérisme.
Le député a déclaré que le slogan « Plus jamais ça » ne devrait appartenir à personne. Pour lui, il s'agit d'un rejet du crime et de la corruption. Il a souligné que « plus jamais ça » devrait signifier que personne ne devrait avoir peur de marcher ou d'attendre un bus. Il a également affirmé que le kirchnérisme cherche à utiliser ce message à son profit. Selon Espert, c'est ce même kirchnérisme qui engendre la pauvreté et la marginalisation dans le pays.
Concernant le vote, José Luis Espert a déclaré que « la société a perdu » après l'approbation de ces projets de loi. Il a toutefois averti que cette victoire pourrait être éphémère si la population soutient le vote lors des élections. Il a défendu la position du parti au pouvoir, qui vise à organiser les finances publiques grâce à des mesures telles que le déficit zéro. Ces mesures empêchent l'émission de monnaie et contrôlent l'inflation, qui est « le pire ennemi des plus pauvres ».
Le député a souligné que le gouvernement de Javier Milei « gagne la bataille contre l'inflation ». Il a précisé que les mois de juillet et août connaissent généralement de légères hausses, mais que la tendance générale est à la baisse. Pour lui, la maîtrise de l'inflation est essentielle pour améliorer la vie des plus vulnérables.
Il a également critiqué les candidats de façade, qu'il a qualifiés de « fraude électorale » qui découragent les électeurs de voter. Il a mis en cause les gouverneurs qui se distancient du gouvernement tout en soutenant le kirchnérisme. Il a affirmé que cette position constituait une « voie médiane », une voie directe vers le populisme.
Enfin, José Luis Espert a appelé à la promotion du mérite, de l'effort et de la compétition en politique et en économie. Il a rejeté ce qu'il a appelé « les misères et les malédictions » du kirchnérisme. Son message appelle à un changement profond pour transformer la réalité sociale et économique de l'Argentine.
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